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  Réflexions au gré des temps
  Les réflexions 2001 :
 

Réflexion AA / 2001 :

— De la croissance du cerveau humain au cours des âges et, par conséquent, de son intelligence :

J’ai entendu dire par des scientifiques qu’il était improbable que le cerveau humain gagne en intelligence au long des âges futurs car le pelvis féminin ne pouvant plus s’agrandir du fait de la station debout, une augmentation de la capacité crânienne ne pouvait plus être envisagée sans compromettre la reproduction humaine.

Cette idée me semble fausse et pour deux raisons :

L’une de ces raisons me semble technologique. Si durant des siècles la capacité crânienne ne put plus s’agrandir et de ce fait : l’intelligence supposée des sujets, par la raison que les bébés qui ne pouvaient naître par les voies naturelles se tuaient et tuaient leur mère par la même occasion, le recours systématique à la césarienne en cas de difficulté de cet ordre me semble supprimer par la même occasion ce problème. En effet, auparavant la sélection naturelle en supprimant et la mère et l’enfant en cas d’étroitesse du bassin ou de trop gros volume de la boite crânienne, empêchait automatiquement et la réduction des pelvis féminin et le grossissement des capacités cérébrales, entretenant les deux dans des proportions disons moyenne, autorisant et la marche verticale et le maintient d’une capacité cérébrale maximale de l’espèce. La technologie actuelle, les césarienne, ainsi, peut-être, que les progrès futurs de procréation in vitro feront sauter ce verrouillage naturel, exposant l’humanité à la disparition pure et simple en cas de régression culturelle.

L’autre raison me semble plus technique. Si l’on peut supposer qu’à une capacité crânienne donnée correspond une certaine « quantité » d’intelligence, on peut aussi supposer qu’il en est de la machinerie biologique comme de toute technologie : on peut augmenter la puissance d’une machine soit par l’augmentation de sa taille, soit, en conservant le même volume, par l’augmentation de son efficience et donc de son rendement. Peut-être, bien que cela soit difficilement vérifiable et quantifiable, nos ancêtres d’il y a dix milles ans malgré leurs similarité physiques n’utilisaient-ils pas leurs cerveaux aussi complètement que nous, et peut-être, nous-mêmes, sommes nous loin de nous en servir aussi bien que nos lointains descendants.

Quoi qu’il en soit de ces deux raisons, seule une évaluation multi millénaires permettraient vraiment de confirmer où d’infirmer vraiment ces deux hypothèses. Peut-être dans un avenir pas si lointain le progrès des sciences nous permettra-t-il d’y voir plus clair, mais toutes les affirmations définitives que l’on peut entendre ici où là sur un sujet aussi peu connu me semble largement sortir de toute rigueur aussi bien scientifique que purement intellectuelle.

Réflexion AB / 2001 :

— Dans notre pauvre cinquième république, des politicards sans vergogne ont pris le pouvoir comme cela était prévisible malgré tous les gardes fous mis en place par le général de Gaulle. Cette constitution qui allait si bien à la France se trouve charcutée, manipulée, interprétée d’une manière honteuse. Sous le prétexte qu’elle n’a pas dit certaine chose, qu’elle en sous-entend d’autres, des gens qui ont perdus toute légitimité, et qui n’aiment que les attributs du pouvoir, mentent aux citoyens qui sont malheureux mais ne peuvent encore définir d’ou vient le mal tant ils ont perdus toutes illusions et sont abrutis par la « pensée dominante ». Ont les achète par des allocations, des raisonnements alambiqués qui ne recouvrent qu’un vide effarant.

Notre pauvre constitution qui devrait être aussi intangible que les tables de la loi, est manipulée, déformée, et sans que l’on nous le dise, insensiblement, nous changeons de république, nous sommes passés de la cinquième à la sixième. La différence ? Il s’agit d’une aristocratie de l’élite mais d’une élite non élitiste puisque autoproclamée, d’une oligarchie égoïste.

A ce demander si une véritable monarchie ne vaudrait pas mieux, mais une monarchie humaine, soucieuse du peuple, qui saurait se passer d’un entourage de courtisans et favoriserait la méritocratie puisque cette dernière n’existe plus et ne dispose d’aucune instance qui pourrait la garantir sans s’y trouver impliquer, sans devoir s’assurer des alliances pour parvenir au pouvoir.

 Réflexion AC / 2001 : 

Dans le grand panier de crabes de la société, le crabe le plus heureux ce n’est pas celui qui mange tous les autres, mais celui qui a échappé à la capture.

Fin pour cette année là.

 
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