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  Réflexions au gré des temps
  Les Réflexions 2004
 

Réflexion AE / 2004 :

— 1- Les maîtres ont besoin d’esclaves soumis, dociles et disponibles, attachés à leurs sorts misérables pour, eux, vivrent bien ; sans compter que l’oppression, l’exercice du pouvoir, fournissent une justification à l’existence ainsi qu’un agréable sentiment de supériorité. 
2- Si les esclaves n’acceptent plus leurs sorts et qu’à défaut de pouvoir se libérer, se tuent, qu’advient-il des maîtres ? Seront-ils obligés de travailler, de construire leurs vies dorées eux-mêmes ? Mais ils y perdraient leur aisance et le semblant de bonheur qui va avec !

3- Il faut donc que l’esclave espère toute sa vie, reporte son propre bonheur dans l’au-delà puisque aucune chance d’améliorer son sort n’existe en ce monde ; mais, surtout, qu’il n’achève pas son existence trop vite, qu’il ne l’abrège pas d’une manière ou d’une autre et peu importe que chaque jour soit une souffrance.

Réflexion AG / 2004 :
— Recommencer sa vie ? Voilà une expression consolante et hypocrite. Nulle vie ne recommence jamais, ne se refait jamais. Toutes les vies continuent plus ou moins bien, avec des phases et des changements, mais lorsque la veille on a quarante ans, le lendemain on n’est pas revenu à l’heure de la fécondation in utero paré pour un recommencement, nanti de toute son expérience antérieure.

 Réflexion AH / 2004 :

— La soi-disant égalité sexuelle actuelle ne reflète qu’une nouvelle grande hypocrisie sociale. En fait, de l’ancienne domination patriarcale nous sommes passés à une guerre des sexes larvée ou chacun campe sur ses positions, prône l’égalité pour mieux asservir l’autre sexe. Ainsi, les milieux professionnels encore patriarcaux asservissent et maltraitent encore les femmes, mais celles-ci, en investissant d’autres champs, trouvent le moyen d’opprimer les hommes ; dommage que les oppresseurs d’un camp ne soient pas forcément les victimes des représailles réciproques. Les femmes ont investies les champs sociaux et de là se vengent des mâles en leur imputant tout et en refusant toute écoute (pour un sexe que l’on prétend ouvert et communicatif…).

Ainsi de la justice et des assistantes sociales qui sur les enfants et la famille agressent les hommes et réclament l’impossible, et qui, sans s’en douter peut-être, reproduisent les vieux schémas patriarcaux et sexistes qui renvoient la femme aux foyers et aux enfants et les hommes à leurs propres servitudes.

Le sexisme se poursuit d’une autre manière et beaucoup plus agressivement que par le passé. Vivement le matriarcat qui stabilisera la société, apaisera les esprits en empêchant les refoulements et les frustrations des uns et des autres ainsi que les vengeances et les jalousies.

 Réflexion AI / 2004 :

— « Aide le marin, il te chie dans la main » Citation d’un ex-collègue qui jamais de sa vie n’aida quelqu’un et qui avait donc tout compris de la vie et de ses principes essentiels.

 Réflexion AJ / 2004 :

— La bonté et la mansuétude sont des vices irrémédiables et mortels ! L’on peut se relever de l’alcoolisme, revenir de la drogue ou de l’abus de sexe ; mais on ne revient jamais de sa gentillesse par laquelle on ne gagne que le surnom de sot et la mort sociale. Au moins les vicieux ordinaires s’éclatent-ils, mais qu’en est-il du gentil qui se sacrifie pour ses semblables en pure perte ? Bien sûr, il peut se consoler en prétendant guérir une partie des malheurs du monde ; mais ceux-ci reste si innombrable, si multiples et ses actions restent si peu payées de retour, quelle satisfaction ou jouissance pourrait-il en tirer ?

 Réflexion AK / 2004 :

— Contrairement à ce qu’affirment toutes les religions et tous les grands principes : l’altruisme est un défaut et l’égoïsme une vertu. L’altruisme entraîne nécessairement la punition alors que l’égoïsme et la fourberie sont tous les jours récompensés. Seule la grossièreté entraîne une punition équivalente à l’altruisme car la méchanceté doit sauvegarder les apparences afin de tromper les faibles et les naïfs, afin de ne pas éveiller la mauvaise conscience des méchants qui ne pourraient plus vivre en paix avec leur conscience.

 Réflexion AL / 2004 :

— La vie n’est pas une fin en soi mais l’instrument par lequel un animalcule que l’on appelle l’Homme peut accomplir et s’accomplir. Une vie inutile vaut moins qu’une mort réussie, pourvu que l’on en décide seul et que l’on en soit maître ; à moins bien sûr, de se ravaler au rang d’une bactérie qui vit sans but et sans question, naît, existe, se reproduit et meurt par principe et programmation génétique.

 Réflexion AM / 2004 :

— La société est paradoxale qui s’affirme impropre à la vie de beaucoup d’êtres humains parce que trop hostile aux innocents, mais qui interdit à ceux-ci de s’en libérer par quelques moyens efficaces, rapides et indolores, soi-disant par charité. Hors la charité c’est bien de permettre la vie ou, à défaut, une bonne mort.

 Réflexion AN / 2004 :

— Il est à noter que sous un effet peut être somatique, psychologique, hormonal voire même phérormonal, il y a transfiguration du sujet aimé. Par exemple : si l’on a pas vu la femme aimée d’un moment, (et pourquoi l’aime-t-on ?) lorsqu’on l’aperçoit à distance et si l’on est pas sous l’effet d’une émotion du genre amoureux, on croît d’abord considérer une femme ordinaire avec toutes ses petites imperfections physiques, puis, lorsqu’elle est plus proche, elle s’embellie, se fait désirable d’une manière quasi imperceptible, et l’illusion amoureuse s’installe qui fait apparaître l’objet du désir tel que dans son imprégnation sentimentale habituelle. De cette observation, je pense qu’il apparaît que le sentiment amoureux provient de l’ajustement de phérormones, d’une façon probablement mutuelle, qui entretient le désir en même temps qu’une illusion quasi hallucinatoire puisque ce n’est pas la vérité crue qui apparaît mais bel et bien un arrangement psychologique.

 Réflexion AO / 2004 :

— Bien souvent, l’être humain exige le respect pour lui-même et le refuse à autrui.

 Réflexion AP / 2004 :

— Lorsque l’animal désire quelque chose, nourriture, sexe, etc. il est disposé à écraser ses semblables, l’égoïsme prédomine ainsi que la loi du plus fort ; l’être humain n’est pas différent à une exception prés : il est doté d’une conscience ainsi que d’un amour propre et ce narcissisme, ne saurait tolérer l’image que la conscience de ses mauvaises actions lui renvoie, alors plutôt que d’arrêter de commettre ces actes condamnables mais qu’il sent indispensable à son bien être et à sa promotion sociale, il préfère les habiller de grands motifs, de bonnes raisons et de justifications parfois simplistes, de cette manière il se rachète à ses propres yeux et peut s’admirer et s’auto congratuler tout à loisir.

 Réflexion AQ / 2004 :

« Un ami ? C’est quelqu’un dont on partage les mensonges sans nécessairement les croire » Dit autrement : c’est quelqu’un dont on flatte l’ego et le narcissisme et qui, en reconnaissance de ce service et peut-être de quelques autres plus matériels, vous renvoie l’ascenseur et rentre dans votre propre jeu de dupe.

 Réflexion AS / 2004 :

« Les autres ne valent que par le profit que l’on peut en tirer » (règle de fonctionnement élémentaire de la société).

Par profit on peut entendre intérêt financier, mais le profit narcissique existe aussi et c’est celui par lequel s’expliquent la plupart des actions dites « gratuites ».

 Réflexion AT / 2004 :

— Il existe une théorie sociale qui explique l’existence de l’altruisme par le souci des êtres humains d’instaurer un système relationnel de services réciproques. Mais il ne s’agit pas d’altruisme puisque l’altruisme est par définition absolument désintéressé, il constitue donc une valeur absolue et inatteignable au même titre que la liberté, l’égalité, la fraternité, etc. En vérité, le don de services dans l’espoir d’un retour non défini au préalable (sous forme de « renvoi d’ascenseur » par exemple), n’est qu’une forme dérivée de l’égoïsme puisqu’au travers du service rendu s’induit une dette morale dont on peut avoir besoin ultérieurement. De la même manière, le donateur achète une image flatteuse de lui-même puisque, si l’égoïsme est la règle absolue, l’autre règle incontournable c’est qu’il faut le pratiquer en toute discrétion : la société elle-même dispose de sa propre psyché collective et ne saurait tolérer que quelques uns de ses membres dérogent aux grands mais faux principes sur lesquelles elle a bâti son propre narcissisme.

Réflexion AU / 2004 :

— L’être humain est un sujet interprétatif, c’est à dire que contrairement à une mécanique, il ne se contente pas de recevoir tel qu’en lui même un message, mais qu’il l’interprète, c’est à dire qu’il lui donne le sens le plus conforme à ce qu’il est disposé à percevoir. Dans la communication entre être humain il existe quatre points faillibles :

1°) L’émission : l’émetteur est-il apte à émettre son message de la façon la plus concise et signifiante.

2°) Le transmetteur : le milieu ambiant ou le support du message est-il apte à le transmettre tel qu’émis.

3°) Le récepteur : l’auditeur, le lecteur, le spectateur dispose-t-il des moyens propres à une bonne réception physique : les yeux, les oreilles, etc. mais aussi intellectuelle : les connaissances techniques, linguistiques, etc.

4°) L’interprétation (laquelle se produit dans le cerveau du récepteur) : l’interprète est-il disposé à comprendre le message ? Veut-il, souhaite-t-il comprendre son interlocuteur ? Avec quels préjugés et présupposés aborde-t-il l’entretien ? Accepte-t-il ou refuse-t-il d’aborder certains éléments (politiquement correct par exemple) ? Sous couvert de dialogue (le narcissisme social exige que l’on paraisse s’intéresser à autrui), est-on vraiment disposer à dialoguer ?

 Réflexion AV / 2004 :

— Il naquit pour souffrir ; souffrit pour vivre et ne fut, finalement, jamais plus vivant que mort !

 Réflexion AW / 2004 :

— Il n’existe pas d’altruisme, de tolérance, de liberté, d’égalité, de fraternité, de reconnaissance, etc. Il n’y a que des égoïsmes, des égoïsmes qui se jaugent, se confortent, se confrontent, se trompent, s’allient et se délient.

 Réflexion AX / 2004 :

— Comme disait l’autre : le monde est rempli de vivants qui ne remplissent leurs vides intérieurs, n’occupent leurs médiocrités, qu’à emmerder et pourrir la vie de leurs semblables qui ne leurs en demandent pas tant.Réflexion AY / 2004 :

— La guerre est cruelle ? Quoi d’étonnant ! Quelqu’un a-t-il déjà commencé une guerre avec l’intention de la perdre ou tout au moins, celle de ne pas essayer de la gagner à tous prix ? Alors dans ce cas, il n’y a pas de limite à l’investissement affectif et à tous ce qui est possible pour vaincre ! Non seulement la guerre sublime les pires perversités, les pires folies, mais elle les justifie par la seule nécessité de la remporter. La guerre est donc une extrémité à éviter, tout du moins quand on a le choix car il faut bien se défendre lorsque l’on est victime d’une agression.

 Réflexion AZ / 2004 :

— Alors qu’incontestablement et sauf sur le plan physique, les femmes constituent le sexe fort, il est curieux de constater qu’il existe des structures afin d’assister les femmes entres elles, des associations de protection, etc. Les hommes, eux, n’ont rien, entre hommes la rivalité prédomine et les rapports de force s’instaurent automatiquement, la préséance l’emporte sur toute autre considération. Aucun homme ne peut espérer une quelconque écoute de son semblable, quand aux relations avec l’autre sexe, elles sont polluées par des considérations pas forcément sexuelle, mais en tout cas suffisante pour empêcher toute compréhension, toute empathie et compassion. Le mâle humain se trouve donc renvoyé à sa propre solitude, à sa propre unicité, le regard des autres est, au mieux, indifférent au pire hostile voire méprisant, si, par malheur ou égarement il confesse une faiblesse.

Dans un conflit avec une femme, les loges sociales qu’elles occupent ainsi que leur solidarité implique que l’homme ait toujours tort, d’ailleurs n’existe-t-il pas un accord tacite datant du patriarcat qui veut que l’homme protège la femme en endossant les responsabilités ? Si le patriarcat est révolu l’accord lui persiste au motif de politesse et de respect ainsi que d’une persistance plus virtuelle que réelle, du machisme, amplifiant par la même la disproportion des forces alors qu’il n’existe plus de respect des femmes pour le fait masculin.

 Réflexion BA / 2004 :

— Je suis incontestablement misanthrope, je n’ai plus aucune raison de croire ni dans l’être humain, ni dans l’humanité. Si vivre en société consiste à mentir, tromper, duper, voler, tricher, profiter, abuser, violer non les corps mais les consciences, faire assaut d’hypocrisie, flatter les puissants et mépriser les faibles, je ne peux le faire, je ne veux pas le faire, alors je suis vraiment asocial et peut-être même exo humain.Réflexion BB / 2004 :

— Alors que les élites dans toutes les nations du monde ont tendance à se ressembler et à obéir à une sorte de formatage universel, fruit de la raison, d’éducations et d’universités communes, etc. ; les peuples, eux, obéissent à des formatages indigènes dont par ailleurs les élites savent jouer pour mouvoir les peuples dans les sens qui leurs conviennent. Ces formatages autochtones forment bien souvent les socles pour ne pas dire les fondations spirituelles plus ou moins inconsciente de chaque nation, ainsi, le français obéit-il à un atavisme monarchique mâtinée d’égalitarisme révolutionnaire et d’exaltation républicaine et universaliste qui soude d’ailleurs entre elles les différentes ethnies françaises, l’américain croît en une sorte de prédestination divine, d’une identification biblique, le germanique a une vision ethnique de la nation assorti d’un sentiment de supériorité qui a permis l’épanouissement du nazisme et qui perdure encore avec le droit du sang, l’anglais a une vision assez germanique, doublé d’une fierté post-impériale et d’une haine atavique du continental voire du reste du monde, idéalement incarné par l’image fantasmatique du français « arrogant » (il est d’ailleurs amusant de constater que quoi que fasse un français il est toujours arrogant, alors que l’anglo-saxon, même lorsqu’il dit merde au reste du monde et déclare des guerres injustifiées et illégales, ne l’ait jamais).

 Réflexion BC / 2004 :

— Le jeu social est un jeu de dupe : les règles affichées et revendiquées sont précisément celles qu’il faut enfreindre ; malheur à celui qui affirme que les dés sont pipés ; malheur à celui qui croit améliorer son sort en se soumettant à ses principes.

 Réflexion BD / 2004 :

— « Vous avez le droit de violer la loi, non celui de vous faire prendre » Disait le chef de section du CIN Querqueville ; il aurait dû dire : « Vous avez le devoir de violer la loi, non celui de vous faire prendre ».

La violation de la loi est la règle, il ne saurait y avoir de réussite qui ne passe par le contournement des principes sociaux et moraux. Dans la réussite on admire la malignité qui permet d’obtenir beaucoup par tous les moyens, et non le travail et l’honnêteté qui enferment voire précipitent dans les abysses. La jalousie endémiques pour les avantages financiers ou autres dont disposent certains provient de cet état de fait qui accole à toutes réussites les noirs motifs souvent justifiés ayant présidés à leurs acquisitions. La réussite ne dépend plus que de l’intelligence à détourner la loi et de la peur des conséquences en cas d’infraction. Chaque individu ne se mesure plus qu’à cet aune : « à qui la combine la plus payante, à qui l’intelligence de ne pas se faire prendre, à qui le courage d’en prendre le risque ». Que devient l’honnête travailleur attaché à bien faire en toute légalité et soucieux du bien être public ?

 Réflexion BE / 2004 :

— Des réflexions qui précèdent découlent que la satisfaction du MOI est le moteur de toute l’activité humaine ainsi que des relations sociales, le SURMOI qui entraîne le respect des règles établies constituerait donc une inhibition, voire une névrose néfaste à l’épanouissement individuel bien que la théorie couramment admise voudrait le contraire.

La timidité en société comme avec les femmes, la peur de s’affirmer, la naïveté constitueraient donc les mêmes facettes d’un même mal, alors que l’affirmation de soi, pourvu qu’elle ne soit pas excessive, serait la « norme ».

 Réflexion BF / 2004 :

— La raison pour laquelle le QE serait plus important que le QI tiendrait donc aussi dans ce principe ; l’adaptabilité sociale voudrait que l’on cultive bien plus ses relations que ses capacités altruistes et laborieuses.

 Réflexion BG / 2004 :

— Il est couramment admis que la vie et la mort sont les deux facettes d’une même réalité ; en effet, il est évident à quiconque qu’il ne saurait y avoir de vie sans naissance puis mort finale. Cependant, coexistent deux interprétations de cette réalité : l’une scientifique et physique, l’autre religieuse.

Dans la première interprétation, la vie est l’organisation de la matière jusqu’à l’acquisition de la conscience et ce par des processus biochimiques, bioélectriques, etc. La mort consiste en la désorganisation définitive de ladite matière et la disparition irréversible de la conscience qui s’était faite jour.

Dans la seconde interprétation, la vie est la projection, l’incorporation d’une énergie, d’une âme, d’essence uniquement immatérielle à fin de maturation. La mort, consiste en la libération de ladite énergie à fin d’accéder à un niveau supérieur d’existence spirituelle (je n’entrerai pas dans le propos de définir en quoi consiste concrètement cette nouvelle forme d’existence, je serai hors sujet).

Si l’on se place du point de vue, osé, de Dieu, dans l’acception religieuse il n’existe aucune différence entre la vie et la mort puisque seule compte l’âme ; tout au plus peut on spécifier que l’incorporation en piégeant l’âme dans le monde physique et en lui permettant de réaliser, de se réaliser dans la matérialité consiste en un retrait temporaire de l’âme du monde spirituel dans le monde matériel. Donc la mort bien loin de consister en une mauvaise nouvelle, apparaît plutôt comme une libération et, pour Dieu, la souffrance par son aspect fugitif en regard de l’éternité, ressort comme une réalité quelque peu irréelle justement, peut-être marquante pour l’orgueil humain, pénitente, mais infime.

 Réflexion BH / 2004 :

— L’une des raisons qui expliquerait la coupable duplicité des relations sociales, abondamment relatée par ailleurs, serait, d’après moi, la nature fondamentalement animale, instinctive de nos comportements que notre refus conscientisé de l’animalité refoule. Ainsi, dominés par des instincts naturels, fruit de millions d’années d’évolution, nous allons de l’avant en les reniant au nom d’une « humanité » au mieux idéalisée, au pire, factice, parce que nous méprisons l’animal qui niche au fond de nos esprits là ou nous préférerions disposer d’une âme.

C'est tout pour cette année là.

 
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